Egalement dans la rubrique Acteurs
Association pour la prévention des accidents et des catastrophes, l’organisation des secours (5 gestes qui sauvent, ministère de la Protection Civile), créée en 1975 par Didier Burggraeve.
Président d’honneur : Paul Reynaërt †
Membres d’honneur : Pierre Blaha †, Haroun Tazieff †, Professeur Louis Serre †, Georges Vedrine †
Le CAPSU agit pour faire connaître et rappeler l’œuvre du Professeur Marcel Arnaud †, fondateur de la traumatologie routière, du secourisme routier, précurseur des SMUR et SAMU.
Le CAPSU publie un bulletin annuel ainsi que 8 « lettres d’information » électroniques chaque année, avec documents. Des références bibliographiques (création en 2009), mises à jour chaque année (2022 : 24 thèmes/1451 références).
Vous pouvez vous connecter à cette page en utilisant l’adresse http://capsu.secourisme.net/.
La cotisation annuelle pour adhérer au CAPSU est de
– 15 € : abonné
– 30 € : contributeur
– 100 € : donateur
La cotisation de contributeur et de donateur est déductible des impôts en tant que don. Attestation de don envoyée par le CAPSU si demande du service des impôts.
– Bulletin n° 61 (1er trimestre)
– Lettres d’information (8 + spéciales) à partir du n° 75
– Numérisation du volume 5 (714 pages) MEMOIRES D’UN SECOURISTE (1975-1977) - 2019.
– Numérisation anciens bulletins (n° 49 (5.2012), 48 (11.2011), 47 (5.2011), 46 (11.2010)) et diffusion.
– Réalisation Volume 7 (1981-83) MEMOIRES D’UN SECOURISTE. Préparation archives pour Volume 8 (1984-1987).
– Mise à jour complète des sujets traités dans les lettres d’information jusqu’en décembre 2023. Mise à jour (sans diffusion) des références bibliographiques du CAPSU à 12.2023.
– Actions et Campagnes (Prévention/Protection) des accidents domestiques (et incendies), des loisirs (et noyades). Inondations. Nucléaire. Alcool au volant.
Actions permanentes
– Projet de formation pratique (4 heures) sur les 5 gestes qui sauvent (face à un accident de la route), obligatoire pour obtenir tout permis de conduire (1967).
– Création d’un ministère de la Protection civile (1971). Nouvelle organisation administrative/opérationnelle (MPC).
– Numéro national unique d’appel des secours (1968).
– Statistiques précises sur les formations en secourisme, les noyades,
incendies domestiques.
– Dossiers à poursuire sur numéro national d’appel des secours (proposition de 1968) et formation au secourisme au sein de l’Éducation nationale (action bénévole locale débutée en 1968 et démarches auprès du ministère dès 1972).
Campagnes/Propositions
– Prévention des incendies domestiques
– Prévention des noyades
– Prévention et répression contre l’alcool au volant
– Prévention et protection contre les inondations
– Numéro national unique d’appel des secours
– Etude/suivi et rapport sur les explosions de gaz
– Etude du Secourisme au sein de l’Éducation nationale
– Etude sur les statistiques des formations au secourisme.
Contact : Didier Burggraeve, Président
– 10 mémoires sur les « 5 gestes qui sauvent » en 17 documents (de 1981 à 2013)
– Le tome I sur le Professeur Marcel Arnaud, juillet 1997,
– Le tome II sur le Professeur Marcel Arnaud, janvier 1999,
– Le tome III sur le Professeur Marcel Arnaud, septembre 2003,
– Le tome IV sur le Professeur Marcel Arnaud, décembre 2006,
– Le tome V sur le Professeur Marcel Arnaud, septembre 2011,
– Le mémoire « Pour un ministère de la Protection Civile », novembre 1982.
– Les documents sur les équipes d’urgence de l’ASAR dans le dossier Secourisme de catastrophe.
Les personnes intéressées par ce bulletin prendre contact avec le CAPSU.
Les 50 ans du « prix de la vocation » reçu le 1er décembre 1970
A l'occasion des 40 ans du CAPSU (1975 — 2015), retrouvez 15 des premières pages et des couvertures des bulletins de l'association.
Retour sur mes 50 ans de secourisme, commencés le 12 avril 1965.
Ce reportage décrit en 1968 l'antenne de réanimation créée par le Pr Paul Bourret à Salon-de-Provence, une initiative qui sera précurseur des futurs SAMU que nous connaissons. A l'époque, le secours routier était balbutiant.
La mise en PLS d'un blessé de la route nécessite des précautions particulières, celui-ci pouvant être victime de lésions cervicales. Les secouristes en équipe disposent d'une technique à trois secouristes qui permet de maîtriser le risque d'aggravation d'une telle lésion. Le CAPSU préconise que dans le cadre de l'enseignement des gestes face à un accident de la route, le grand public apprenne une technique de PLS à deux personnes.
Ce nouveau mémoire, le 17e depuis 1981, de 328 pages, est consacré au ministère des Transports, pour la période 2002 à 2007. Il revient sur toutes les démarches entreprises à destination de ce ministère, directement par le CAPSU ou par l’intermédiaire de nombreux parlementaires de tous bords politiques.
Retour sur les propositions du CAS et les échanges avec le CAPSU.
L’année 2012 aura été une année d’anniversaires pour le CAPSU.
Le Professeur Alain LARCAN, disparu le 10 mai 2012, a apporté au secourisme, tel que nous l’entendons, c’est-à-dire en associant autant la population que les secours professionnels, une contribution exceptionnelle et novatrice.
Lors des discussions à l'Assemblée nationale autour de la proposition de loi pour une formation aux « 5 gestes qui sauvent » aux permis de conduire, il a souvent été question de savoir si ce type de mesure relève de la loi ou du règlement. Le point sur cette question.
Synthèse des propositions du CAPSU jusqu'en 2009 pour imposer une formation aux premiers secours lors d'accident de la route qui serait intégrée à la formation au permis de conduire.
L'objectif de ce 10e mémoire est de rassembler en une seule référence tout ce qui s'est passé avec le ministère des transports (ou en charge des transports, au gré des modifications fréquentes du périmètre des ministères et de leurs appellations).
Ce mémoire retrace les efforts du CAPSU pour convaincre les pouvoirs publics de mettre en place une formation à cinq gestes qui sauvent au permis de conduire entre 1985 et 2005.
Ce document est totalement consacré à la position (depuis les premières démarches en 1968), à ce jour, des partis politiques Français, à travers leurs leaders, ainsi que des groupes parlementaires, à l'Assemblée nationale et au Sénat, à propos du projet des « 5 gestes qui sauvent ».
Paul REYNAËRT, Président d'honneur du CAPSU, a consacré sa vie à la prévention des incendies et des accidents.
Pierre BLAHA, membre d'honneur du CAPSU, est secouriste, moniteur et préventionniste.
Louis SERRE fut le fondateur du SMUR de Montpellier et du premier SAMU, celui de l'Hérault, en 1963, qui devint une référence pour les autres SAMU qui allèrent se créer ensuite.
Ce 7e mémoire revient sur les actions menées de 1967 à 1999 pour mettre en avant l'intérêt de l'apprentissage des 5 gestes qui sauvent en France, qui permettraient de sauver 1000 vies par an.
Ce mémoire revient sur les démarches entreprises par le CAPSU de 1967 à 1997 pour tenter de persuader les pouvoirs publics de l'intérêt d'introduire une formation aux cinq gestes qui sauvent au permis de conduire.
Dans ce mémoire publié en 1997, Didier Burggraeve rapporte la suite des démarches du CAPSU auprès des autorités nationales pour tenter d'imposer les « cinq gestes qui sauvent » au programme de formation du permis de conduire.
Dix ans après la publication d'un premier mémoire, le CAPSU revient en 1992 sur la suite donnée par les personnalités qui l'ont reçu et sur les initiatives prises pour tenter de rendre obligatoire la réalisation d'une formation à cinq gestes qui sauvent au permis de conduire.
Ce mémoire a été rédigé et diffusé en novembre 1982 auprès des autorités publiques de notre pays afin d'attirer l'attention sur l'intérêt de rassembler au sein d'une seule entité administrative, toutes les prérogatives et compétences éparpillées, outre au sein de nombreux départements ministériels, par de multiples organismes et structures diverses.
Ce mémoire publié à la mi-1981 rapporte les démarches entreprises par le CAPSU jusqu'à cette date pour introduire une formation pratique au permis de conduire à cinq gestes qui sauvent. Si les autorités reconnaissent le bien-fondé de la démarche, les échanges de l'époque témoignent des hésitations et des difficultés qui ont différé la mise en œuvre de ce projet.