Recommandations PSC1 décembre 2016
6 janvier 2017 - dernière mise à jour 22 janvier 2023
Ces recommandations sont destinées à faciliter l’action des organismes habilités et des associations nationales agréées. Elles permettent de disposer de l’ensemble des éléments nécessaires pour les gestes de secours, selon une approche scientifique conforme aux recommandations des sociétés savantes.
Disponible en version ePub pour lecture sur smartphone et liseuse.
En complément le ministère de l’Intérieur a publié un guide qui apporte à l’ensemble des formateurs les justifications particulières et notamment scientifiques sur une majorité de modifications intervenues dans cette nouvelle version des recommandations.
Disponible à l’achat en couverture souple au format A5 économique, impression noir et blanc : http://www.lulu.com/shop/dgscgc/rec...
Texte intégral
Ministère de l’Intérieur
Direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises
Direction des sapeurs-pompiers
Localisation géographique : 18, rue des Pyrénées 75020 Paris
Adresse postale : Place Beauveau — 75008 Paris
AVERTISSEMENT — Le présent guide est une version fournie au format HTML. La conversion depuis le fichier PDF original a été réalisée par secourisme.net. Malgré le soin apporté à sa réalisation des erreurs peuvent subsister, dans ce cas merci de les signaler à webmaster chez secourisme.net.
Recommandations relatives à l’unité d’enseignement « Prévention et Secours Civiques de niveau 1 » (PSC1)
L’unité d’enseignement « Prévention et secours civiques de niveau 1 » a pour objectif de faire acquérir à toute personne les compétences nécessaires à l’exécution d’une action citoyenne d’assistance à personne en réalisant les gestes de premiers secours, conformément aux dispositions en vigueur.
Cette unité d’enseignement est dispensée à partir d’un référentiel interne de formation et de certification établi par l’organisme habilité ou l’association nationale agréée à la formation aux premiers secours au titre duquel le formateur intervient.
Les informations figurant dans le présent document sont destinées à faciliter l’action des organismes habilités et des associations nationales agréées à la formation aux premiers secours, en leur permettant de disposer de l’ensemble des éléments de langage nécessaires à justifier l’emploi des techniques relatives aux gestes de premiers secours, selon une approche scientifique conforme aux recommandations des sociétés savantes.
Notes
[1] A l’époque des téléphones portables, la transmission de l’alerte ne pose plus guère de problème. Dans le cas contraire, un sauveteur seul face à une personne en arrêt cardiaque est en grande difficulté. Il doit appeler très tôt pour donner un maximum de chance de survie à la victime.
[2] Le sauveteur récupère lui-même le DAE s’il est à proximité et qu’il peut se le procurer immédiatement sans interrompre la RCP plus de 10 secondes. Il faut pour cela que le DAE soit dans son champ visuel. Dans le cas contraire, le sauveteur réalise la RCP jusqu’à ce qu’on lui apporte le DAE.
[3] La position allongée retarde ou empêche l’installation d’une détresse liée à la perte importante de sang.
[4] Le fait d’encourager à tousser aide au rejet du corps étranger.
[5] L’interdiction de retirer le corps étranger d’une plaie évite toute aggravation de la lésion ou du saignement.
[6] La position assise facilite la respiration lorsque l’on est en présence d’une plaie au thorax.
[7] La position allongée permet de prévenir les détresses et d’éviter les complications.
[8] La flexion des jambes d’une victime préalablement allongée permet, par le relâchement des muscles de l’abdomen, de diminuer la douleur.
[9] La fermeture des yeux et l’immobilité de la tête permettent de limiter les risques d’aggravation de la lésion de l’œil.
[10] La position allongée permet de prévenir les détresses et d’éviter les complications.
[11] Le lavage à l’eau, avec ou sans savon, permet d’éliminer les germes qui pourraient provoquer une infection.
[12] Cette technique permet une efficacité maximale. Il permet au thorax de reprendre sa dimension initiale après chaque compression thoracique, afin que le cœur se remplisse bien de sang.
[13] Ces indications peuvent être vocales ou visuelles. Leur suivi strict permet de réaliser les différentes opérations plus rapidement et en sécurité.
[14] Tout mouvement de la victime durant la phase d’analyse du rythme cardiaque est susceptible de la fausser.
[15] Le pincement du nez empêchera toute fuite d’air par le nez lors des insufflations.
[16] La pression ferme autour de la bouche de la victime empêchera toute fuite d’air durant les insufflations.
[17] La réalisation rapide des manœuvres d’insufflation permet de ne pas retarder la reprise des compressions thoraciques.
[18] L’alignement des jambes et la position du membre supérieur anticipent la position finale.
[19] Lors du retournement, le maintien de la main de la victime contre son oreille permet d’accompagner le mouvement de la tête et de diminuer la flexion de la colonne cervicale qui pourrait aggraver un traumatisme éventuel.
[20] La saisie de la jambe de la victime au niveau du genou permet de l’utiliser comme « bras de levier » pour le retournement.
[21] Le maintien de la main sous la joue de la victime limite les mouvements de la colonne cervicale.
[22] La position de la jambe permet de stabiliser la PLS.
[23] L’ouverture de la bouche de la victime facilite l’écoulement des liquides vers l’extérieur.
[24] L’efficacité d’un choc électrique sur une victime allongée sur un sol mouillé est diminuée. Il n’existe pas de risque réel pour le sauveteur.
[25] L’efficacité d’un choc électrique sur une victime allongée sur une surface métallique est diminuée. Il n’existe pas de risque réel pour le sauveteur.
[26] A l’époque des téléphones portables, la transmission de l’alerte ne pose plus guère de problème. Dans le cas contraire, un sauveteur seul face à une personne en arrêt cardiaque est en grande difficulté. Il doit appeler très tôt pour donner un maximum de chance de survie à la victime.
[27] Le sauveteur récupère lui-même le DAE s’il est à proximité et qu’il peut se le procurer immédiatement sans interrompre la RCP plus de 10 secondes. Il faut pour cela que le DAE soit dans son champ visuel. Dans le cas contraire, le sauveteur réalise la RCP jusqu’à ce qu’on lui apporte le DAE.
[28] La position allongée retarde ou empêche l’installation d’une détresse liée à la perte importante de sang.
[29] Le fait d’encourager à tousser aide au rejet du corps étranger.
[30] L’interdiction de retirer le corps étranger d’une plaie évite toute aggravation de la lésion ou du saignement.
[31] La position assise facilite la respiration lorsque l’on est en présence d’une plaie au thorax.
[32] La position allongée permet de prévenir les détresses et d’éviter les complications.
[33] La flexion des jambes d’une victime préalablement allongée permet, par le relâchement des muscles de l’abdomen, de diminuer la douleur.
[34] La fermeture des yeux et l’immobilité de la tête permettent de limiter les risques d’aggravation de la lésion de l’œil.
[35] La position allongée permet de prévenir les détresses et d’éviter les complications.
[36] Le lavage à l’eau, avec ou sans savon, permet d’éliminer les germes qui pourraient provoquer une infection.
[37] Cette technique permet une efficacité maximale. Il permet au thorax de reprendre sa dimension initiale après chaque compression thoracique, afin que le cœur se remplisse bien de sang.
[38] Ces indications peuvent être vocales ou visuelles. Leur suivi strict permet de réaliser les différentes opérations plus rapidement et en sécurité.
[39] Tout mouvement de la victime durant la phase d’analyse du rythme cardiaque est susceptible de la fausser.
[40] Le pincement du nez empêchera toute fuite d’air par le nez lors des insufflations.
[41] La pression ferme autour de la bouche de la victime empêchera toute fuite d’air durant les insufflations.
[42] La réalisation rapide des manœuvres d’insufflation permet de ne pas retarder la reprise des compressions thoraciques.
[43] L’alignement des jambes et la position du membre supérieur anticipent la position finale.
[44] Lors du retournement, le maintien de la main de la victime contre son oreille permet d’accompagner le mouvement de la tête et de diminuer la flexion de la colonne cervicale qui pourrait aggraver un traumatisme éventuel.
[45] La saisie de la jambe de la victime au niveau du genou permet de l’utiliser comme « bras de levier » pour le retournement.
[46] Le maintien de la main sous la joue de la victime limite les mouvements de la colonne cervicale.
[47] La position de la jambe permet de stabiliser la PLS.
[48] L’ouverture de la bouche de la victime facilite l’écoulement des liquides vers l’extérieur.
[49] L’efficacité d’un choc électrique sur une victime allongée sur un sol mouillé est diminuée. Il n’existe pas de risque réel pour le sauveteur.
[50] L’efficacité d’un choc électrique sur une victime allongée sur une surface métallique est diminuée. Il n’existe pas de risque réel pour le sauveteur.
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