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- 30 juillet 2012 - dernière mise à jour 4 août 2012Questions diffusées du 25 mars au 1er avril 2012 sur notre page spéciale révisions PSE Facebook.
A. Lorsqu’une situation ne permet pas de mettre en œuvre les techniques apprises, le secouriste :
B. Un secouriste (titulaire uniquement du PSE1) peut participer à un relevage et brancardage :
C. Quelle est l’affirmation inexacte ?
D. A quelles obligations minimales de maintien des acquis sont soumis le secouriste et l’équipier secouriste (combinaison de bonnes réponses) ?
E. Quand on parle de stress dépassé, on fait référence :
F. Un secouriste a tendance à s’investir de manière inhabituelle dans sa mission, ne se repose pas, et est sarcastique en parlant des victimes et des autres secouristes. On peut craindre :
A. Le référentiel PSE1 cite 6 principes de base du secourisme. Le 4e est : « s’adapter à la situation ». Certaines situations ne permettent pas au secouriste de mettre en œuvre les techniques apprises et celui-ci doit faire preuve de faculté d’adaptation. Par exemple, en l’absence de matériel spécifique : utiliser des morceaux de vêtements pour réaliser un tampon compressif ou une chaise d’ameublement pour déplacer une victime.
La bonne réponse à la question est donc la n°2.
B. Le 5e principe du secouriste cité par le référentiel PSE1 est « aider les autres équipes de secours ». Sur opération, lors de la réalisation de certaines techniques, notamment celles de ramassage ou de brancardage, la participation de plus de trois équipiers est requise. Dans ce cas, du fait de sa formation, le secouriste est mis à disposition du responsable de l’intervention, pour apporter son aide. La bonne réponse à la question est donc la n°3.
C. L’affirmation inexacte est la 5 car le secouriste en mission est toujours accompagné d’un équipier secouriste au moins (ex. PAPS, binôme, équipe d’intervention...)
D. Le référentiel indique : « à partir du moment où un acteur de la sécurité civile obtient le certificat de compétences PSE 1 [ou 2], il lui appartient, en sus des formations continues qui lui sont obligatoires, de maintenir son niveau de compétences en continuant une auto formation (lecture régulière du référentiel national de compétences...), tout en mettant en pratique ses savoirs sur le théâtre des opérations, pour obtenir une certaine expérience. » . Donc les réponses 1-3-4 sont vraies. Mais si vous avez la chance d’avoir une autorité d’emploi qui organise des entraînements réguliers, il est évidemment plus que conseillé d’y aller ! Et sinon on espère que cette page vous aide à respecter l’obligation n°3 ;-)
E. La bonne réponse est la n°3.
F. Le comportement évoqué fait penser à l’épuisement professionnel (réponse 3). Le syndrome d’épuisement professionnel est caractérisé par une grande fatigue physique et psychologique avec parfois une sensation de perte de motivation ou d’incompétence. Ces facteurs peuvent entraîner une dépression avec fatigue, tristesse, ralentissement et perte de l’estime de soi. Mais cette dépression peut également être masquée par des phénomènes apparemment contraires comme le surinvestissement dans le travail, une grande excitation psychique, une prise de risques inconsidérés, la tendance exagérée à faire preuve de cynisme ou à traiter les victimes comme des objets pour se préserver de tout impact émotionnel.
Sur le Web : Notre page spéciale révisions PSE sur Facebook
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